Hôtels, restaurants, plages, wagons de train ou même vols long-courriers : les espaces “no kids” se multiplient. Vantés comme des refuges de calme et de confort, ils séduisent une clientèle avide de tranquillité. Mais derrière cette tendance qui semble anodine se cache peut-être un symptôme plus grave : celui d’une société fatiguée, individualiste, et réfractaire au vivant.